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Si l’Euro disparait et que toute l’Europe fait faillite, c’est ici que je vais émigrer.


Comme je m’y attendais, de toutes les villes que je viens de passer, Buenos Aires est la plus belle. Il ne lui manque que le superbe bord de mer de Montevideo, située sur l’autre rive du Rio de la Plata, qui sépare les deux pays. A défaut de belles plages, les Porteños, (C’est ainsi que l’on nomme les habitants de Buenos Aires) vont faire bronzette dans leurs superbes parcs. La ville est d’ailleurs parsemée de parcs bourrés d’œuvres d’art, avec de beaux étangs, aires de sport et de jeux.  


Les avenues  sont larges, allant parfois jusqu’à 2 x 6 voies, entrecoupées de ronds-points d’où regardent fièrement les statues de conquérants ou libérateurs de tout genre. De telles avenues rendent la circulation bien fluide, je n’ai pas remarqué un seul embouteillage. Peut-être est-ce la la raison que les automobilistes ici sont très civilisés ; on ne s’excite pas, on ne klaxonne pas et on laisse même la priorité aux piétons.


Quand aux immeubles et édifices, Buenos Aires n’a rien à envier aux plus belles capitales européennes, au fait, elle pourrait très bien en être une, avec ses boutiques élégantes, ses belles citadines, et ses restaurants huppés où l’on vous sert des steaks gigantesques agrémentés de vins argentins qui peuvent rivaliser avec les meilleurs vins de France ; en prix également d’ailleurs.


A Buenos Aires se termine la Panamericana officielle, que je n’ai guère empruntée d’ailleurs.

Aujourd’hui je reprendrai ma route vers la sud, vers Ushuaia, ma destination finale.


Maintenant un dernier problème commence à me causer du souci : Ma moto : jusqu’à présent je n’ai pas trouvé moyen de la faire rapatrier au Luxembourg.

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